jeudi 20 novembre 2014

BARAK OBAMA PRESIDENT ! ET APRES ?

Ce texte a été écrit juste après la deuxième élection de M. Barack Obama à la maison blanche. juste une petite réflexion!
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Pour la deuxième fois consécutive, Barak Obama vient d’être élu président des Etats Unis d’Amérique. Le plus puissant état de la planète. Il devient ainsi après Bill Clinton, le second président Américain issu du parti démocrate à passer huit années d’affilées à la maison blanche.
L’évènement a connu une fois encore une  grosse médiatisation. Mais,n’a pas suscité dans le monde et particulièrement en Afrique l’enthousiasme d’il y a quatre ans. Au moment où,  M. Obama briguait pour la première fois la magistrature suprême.
En tant qu’Africain, j’essaie de comprendre les raisons pour lesquelles cette nouvelle élection a vu s’émousser la passion de bon nombres de mes concitoyens.
On se souvient. Les Etats-Unis et l’Afrique du Sud sont deux pays où le racisme ou la ségrégation raciale ont été érigés en régime de gouvernement. Les  droits civiques des populations noires ont été bafoués pendant des décennies.
On se rappelle du Pasteur noir, Matin Lutter King,  leader et véritable défenseur des droits civiques des Afro-Américains, mort assassiné vers la fin des années soixante.  On se rappelle encore de la mort de John Franklin Kennedy, ancien président des États-Unis. Lui aussi, assassiné dans les années soixante. Un homme en qui beaucoup de noirs avaient fortement confiance.
Quarante années  après, force est de constater que beaucoup d’eaux ont coulé sous le pont, et que beaucoup de choses ont changé dans ce pays. Les États-Unis des années cinquante et soixante, ne sont plus les Etats-Unis d’aujourd’hui. Et, les  noirs américains sont rentrés dans leurs droits.
Au point où un homme dont les origines africaines bien connues est pressenti aux portes de la maison blanche. Cela,  à un  moment où la situation socio-économique du pays de l’oncle Sam connaît des difficultés certaines.  Et là, nous sommes à la veille des élections de novembre deux mille huit. Jamais, un candidat marqué par des origines noires n’a été si prêt de présider  aux destinées du plus puissant état du monde. Dans une nation où les descendants d’Afro-américains ne représentent guère que onze pour cent de la population, M. Barak Obama,  candidat,  devra compter  à tout prix  sur le suffrage des blancs.
Les africains retiennent alors leur souffle. Presque le reste du monde aussi. Barack Obama affrontait alors Mc Caïn, le vice-président du chef de l’état sortant George W.Bush.
Chaque africain dans son for intérieur souhaitait la victoire de M. Obama. Dans un combat où il semblait être un peu comme David contre Goliath.  Si Barack Obama venait à passer, ce serait comme porter un coup à l’histoire de ce pays où la présidence semblait être réservée à une majorité de fait : les blancs. La victoire du candidat Obama s’il venait à passer, loin d’être une victoire africaine, serait plutôt une victoire symbolique de  la transformation de l’impossible en possible. La victoire de la foi. Chaque africain, chaque minorité dans le monde, en son for intérieur, dans son intimité se disait « si M. Barack peut devenir président aux états unis alors que cela semble à priori impossible,  alors moi aussi, je peux remporter la victoire sur mes faiblesses ». Tel pourrait être interpréter à mon avis le premier niveau d’enthousiasme suscité et porté par les supporter à travers le monde du candidat  démocrate noir aux élections de novembre deux mille huit.
Le second niveau d’enthousiasme des africains viendrait du fait qu’une fois élu président du plus puissant état de la terre, Barack Obama, en tant que « frère naturel » du fait de l’origine de son père ne les oublierait pas. Il en tiendrait naturellement compte et viendrait à leur secours sur tous les plans, un peu comme Zorro assistait les plus démunis en dépossédant les riches de leurs biens.
Quel fantasme !
Aujourd’hui, cela fait plus de quatre ans que M. Barack a remporté les élections de deux mille huit. Et, chaque africain a pu faire le bilan de  son mandat en tant que président. Cela fait maintenant quelques jours que M. Obama a été élu pour quatre années encore à la tête de l’exécutif de son pays, pourtant l’on n’a pas vu autant d’enthousiasme de la part de ses soutiens africains comme cela avait été le cas quatre années plus tôt.
Qu’est ce qui a bien pu se passer de la part des supporters d’hier ?
Se sont-ils remis de leurs illusions ou sont-ils devenus plus réalistes après avoir évaluer les quatre premières années au pouvoir de leur idole ?
D’une part, il serait intéressant de remarquer que si l’enthousiasme à la veille de la toute première élection  du candidat noir avait été suscité en partie par le secret intime de voir enfin quelqu’un émanant d’une minorité diriger les États-Unis et que comme nous l’avons dit un peu plus haut, cela représentait un symbole fort de voir l’impossible se réaliser dans la vie de tout un chacun ; il est tout aussi logique de constater qu’une fois ce rêve secret atteint, il n’était plus d’actualité et rentrait alors dans la catégorie des acquis. Ce qui pourrait justifier l’érosion partielle de la joie des supporters d’antan à l’annonce de la réélection du candidat sortant.
D’autre part, la fameuse phrase: « les états africains n’ont pas besoin d’hommes  forts  mais d’institutions d’état fortes. » prononcée par M. Obama, au Ghana,  lors de sa toute première visite en Afrique aux lendemains de son élection a du mettre les pendules à l’heure chez ceux qui pensaient que son arrivée à la tête de l’exécutif américain  favoriserait la distribution de dons aux états en développement. Ceux qui  ont nourri ce genre d’espoir, se sont rendu compte après quatre  années d’exercice du pouvoir que, le présidentObama est resté en phase avec lui-même, et qu’ils avaient nourri seulement que des illusions.
Dès lors comment s’étonner de ce que la liesse populaire engendrée par sa toute première accession à la magistrature suprême se soit émoussée ou du moins ait baissée en intensité, lorsqu’on apprend que M. Barack Obama,  fut-il toujours admiré, est  reconduit à la tête de l’exécutif des États-Unis, pour quatre années encore?
Ces supporters d’hier doivent  aujourd’hui se poser une seule question : Barack Obama président, et  après ?Ces supporters d’hier savent qu’ils peuvent s’entendre à tout, sauf rêver.Le rêve de croire que le progrès, la justice et l’égalité, des valeurs qui constituent le fondement de la démocratie américaine leur seront donné.
Les africains, farouches supporter de M. Obama tirent maintenant les leçons de ces élections américaines qui ont porté un noir au pouvoir ; Et, ces leçons valent plus que des dons auxquels ils s’attendaient.
Dans une démocratie où les actes sont en phase avec les paroles. Dans un régime où tout citoyen indépendamment de son origine, de son statut social, de se religion, de sa race, peut postuler à la magistrature suprême pour peu qu’il soit en règle avec les lois du pays. Les africains ne peuvent que prendre pour modèle un tel régime ou une telle démocratie.
Avec une telle démocratie, les institutions ne peuvent qu’être fortes. Du coup, l’on comprend aisément le sens de la fameuse phrase de M. Obama lorsqu’il était de passage au Ghana juste après sa toute première élection. Les africains ont besoin d’institutions d’état fortes et non d’hommes d’état forts.
Les Etats-Unis ont démontré qu’ils étaient une véritable nation avec l’élection d’Obama. Une nation se reconnait par ses valeurs, son identité. Ce sont là des éléments qui fondent une nation. Le Progrès, l’Egalité et la Liberté n’ont pas de couleur, encore moins des origines. Si les Africains parviennent à tirer le meilleur parti des ces élections américaines où le vaincu appelle le vainqueur pour l’en féliciter et se mettre à sa disposition et travailler ensemble, alors nos états africains auront reçu le meilleur don qui soit avec le passage d’un des leurs à la maison blanche.

Ils pourront alors à l’unisson dire merci, un grand merci au premier président noir américain : Barak, Hussein Obama. 

mardi 28 octobre 2014

"Projet d'Etat"

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Il est important de critiquer. Surtout lorsque cela rime avec développement ou évolution. Il est encore plus important de critiquer lorsque cette critique apporte des propositions de solutions.
Ça s’appelle de la critique constructive.
« Projet d’Etat » est un Essai. Un ouvrage retenu par le comité d’organisation du « concours de manuscrit francophonie » 1ère Edition.
« Projet d’Etat » Est un véritable plaidoyer en faveur des Etats Africain pour un nouveau départ en tant qu’institution forte. C’est une suggestion à l’endroit de nos Etats Africains afin qu’ils basent leur développement sur un programme global, intégral et cohérent.
De sorte qu’à partir d’un savoir faire endogène chaque Etat d’Afrique s’éloigne définitivement de la guerre, la misère, la médiocrité et joue le rôle qui est le sien au rendez-vous « du donner et recevoir».
Oui ! Cela est possible.
Lisez et faites lire donc « Projet d’Etat » de Cyrille koffi Zounon.

http://www.leseditionsdunet.com/culture-societe/2603-projet-d-etat-cyrille-koffi-zounon-9782312023885.html

samedi 27 septembre 2014

SIMPLE AVIS : QUEL MODELE D’ORGANISATION RELIGIEUSE AUJOURD’HUI ?

 L’homme est un animal. Mais pas n’importe lequel. Il est un animal  social et doué de pensée. L’acte de la pensée est ce qui le distingue essentiellement des autres types d’animaux. Une pensée réflexive qui va l’amener  à façonner son avenir.
De cette prise de conscience vont naître deux disciplines : la Philosophie et la religion qui lui serviront d’appui pour se lancer avec peu ou prou d’assurance dans le futur. Le futur, ce temps à venir qu’il ne voudra plus seulement le prolongement d’un passé mais plutôt, un temps dont il voudra être désormais le maître à partir de son présent dont il tient tout aussi bien les rênes.
Avec la philosophie, il comprend qu’il n’est plus une « chose »  de la vie qui vit en traversant simplement le temps et qu’il peut donner sens et finalité aux questions de l’angoisse existentielle : la vie, la mort, etc.
Avec la Religion, il comprend qu’il peut-être avec la Nature,  Co-artisan de sa destinée. La sagesse tirée de la religion l’aide désormais  à compenser ses limitations en tant qu’entité humaine. Les rites, rituels et cultes lui permettront  de se retrouver dans un Tout  harmonieux avec le cosmos et d’en tirer créativité et  force éternelle de vie.
De ce point de vue la philosophie et la religion, apparaissent comme deux disciplines intimement liées. Et toutes deux coexistent dans le cœur de qui vit. Religieux ou Athées, croyants ou incroyants, gnostiques ou agnostiques.
Qui peut nier qu’à tout moment de la journée, qu’il ne pense. Qu’il ne pense à maintes choses mais que de toutes ces choses là,  il y  en a une dans son cœur qui domine conformément à une certaine forme de  principes et de vision. La philosophie, c’est  justement ces principes et visions qui dominent le cœur et qui avec notre assentiment ou non crée en nous toutes sortes d’automatismes qui conditionnent notre quotidien.
Qui peut nier qu’à tout moment,  qu’il ne souhaite ou  ne désire voir se réaliser quelque chose qui la réjouirait. Cette chose que l’on désire ardemment et à laquelle l’on finit par y être lié consciemment ou inconsciemment est le fait d’un espoir et une espérance. Un espoir et une espérance puisés de ce quelque chose auquel nous tenons tant.  Et, c’est justement ce sur quoi  nous fondons toute notre âme qui fait de nous,  un être religieux. Oui ! Un religieux de fait. Car la religion, c’est ce sentiment très fort qui nous lie à ce qui nous tient le plus au cœur.
Comprendre à priori cela, c’est opter à raison pour une  philosophie et une religion humaines et humanisant. Etant entendu que l’on ne peut se passer de ses deux disciplines et que la société est l’espace incontournable d’expression de toute religion. Ces deux disciplines fondent notre vie. Ce sont là des fondations de vie dont on ne saurait se soustraire.
Comprendre cela, c’est faire la part des choses entre une religion déshumanisant coupée du reste de la société et une religion humanisant qui se développe au cœur même de la société.
Une religion qui se développe au cœur de la société est celle là qui accorde la primauté à la vie et dont les principes sont vécus au quotidien contribuant ainsi au développement de la communauté toute entière.
Car, la religion à l’instar du bien être de l’individu vise le bien être de tous.  La religion en tant qu’institution sociale vise le développement et l’harmonie du groupe.
Il me paraît donc évident,  que puiser sagesse ou force vitale de son objet de croyance et la partager par des actes et actions de développement avérées  au sein de la société est à mon sens la première mission de la religion.
En ce sens la relation du religieux à la société est très capitale. Elle ne doit en aucun cas être entachée ou souillée.  Que vaut une religion si les actions qui en émanent devraient porter préjudice aux autres? Que vaut une religion si elle ne devrait que professer des dogmes creux et dénoués de sens ? Que vaut une religion si plutôt que de servir, elle asservit ? Que vaut une religion, si ses adeptes passent  leur temps à faire montre d’intolérance, d’esprit sectaire et pervers ?
 L’homme,  en tant qu’animal intelligent se doit d’être sociable. La communauté ou la société est d’abord  et avant tout,  celle là même qui devrait bénéficier de l’apport utilitaire de toute foi.
Les valeurs prônées par une organisation religieuses devraient prendre corps dans la vie de tous les jours au cœur même de la société. Ici et maintenant et jamais dans un indéfini lointain.
L’Amour, la Tolérance, la Compassion, la Générosité, la Bienveillance, la Créativité, le travail sont des valeurs qui devraient avoir pour lieu d’expression l’espace social. Des valeurs qui devraient être le crédo de toute organisation religieuse avérée. Pour faire simple. Cela revient à dire ceci : « je suis religieux donc,  je suis bienveillant. Je suis religieux, je n’ai donc pas à attendre le futur pour être un citoyen modèle. C’est ici et maintenant que je dois être quelqu’un de bien ».
Etant entendu que le futur se tisse dans la toile du présent. Il est nécessaire pour tout religieux de faire preuve de réalisme et de pragmatisme. Un réalisme vital qui fait appel à un bien être authentique. Penser futur pour le futur en perdant pieds de la réalité présente n’est rien d’autre qu’un rêve sans lendemain.
La religion vivante d’aujourd’hui est celle qui incarne cette façon de penser et d’agir. En tant que qu’observateur de la chose religieuse, je puis noter avec « dilettantisme » peut être,  que des organisations religieuses de la sorte existent.
Au Japon par exemple l’association à but non lucratif : « Soka Gakkai » littéralement : « Société pour la création des valeurs » dont le but est de répandre la Paix à la surface de la terre,  au moyen de l’Education et de la Culture, puise sa vision philosophico-religieuse du Bouddhisme.
En espace de quatre vingt quatre d’années d’existence, cette association de millions d’adeptes continue d’attirer vers elle, des personnes nouvelles avides d’un esprit religieux vital et concret.
A voir de près la croissance régulière et phénoménale d’une telle association, il semble que  l’esprit de bienveillance, d’autonomie, et de bonheur capitalisé, éprouvé et partagé de chacun de ses membres ; esprit  fondé sur la loi vitale de cause à effet qu’elle pratique soit à la base d’un tel développement. Et ce, en dépit d’une crise qu’elle a connu au début des années quatre vingt dix avec le groupe des bonzes et qui lui a valu d’être excommunié par cette communauté moines.
Curieusement, la  « Soka Gakkai », a su se saisir d’une situation de rupture avec le groupe des moines pour se créer des valeurs et connaitre la croissance qui est sienne de part le monde.
Aujourd’hui, la « Soka Gakkai » s’est internationalisée et on dénombre près de deux cent démembrements de cette organisation à travers le monde entier.
Des principes simples, tels que l’harmonie du groupe autour de la leur mentor le docteur Daisaku Ikeda, l’unité dans la foi, la révolution humaine : concept selon lequel tout membre de « la Soka Gakkai » peut émerger de n’importe quelle situation calamiteuse ou pas et devenir un individu de valeur pour autant qu’il prenne uniquement appui sur sa foi en la loi  vitale de cause à effet  et soigne son comportement.
Ces principes pratiqués avec foi au quotidien ont permis à la "Soka Gakkai" de se construire une renommée mondiale en tant qu’association à fort utilité publique et sociale en venant à bout  de nombreux défis.
On se souvient encore du rôle jouer par les secouristes « Soka » au plus fort du tremblement de terre de Mars deux mille onze au Japon.
Il est bien de noter les tares des organisations religieuse, mais il est également humain de reconnaître et de citer en exemple lorsque globalement des organisations religieuses donnent au monde entier une leçon pratique de vie.   Les membres de  la « Soka Gakka » le savent très bien. Ils savent que beaucoup restent à faire au niveau de la paix mondiale. Et pour ce faire leur organisation doit vivre au cœur de la société même. Eux qui manient aisément foi et raison dans une société où les différences sont assez souvent source de polémique. Ils savent que la « Soka Gakkai » est une école de vie et que la protéger et la perpétuer au moyen d’actions responsables et humaines pourrait inspirer d’autres. Ils savent que l’humanité est riche de ses différences, c’est pourquoi ils prônent le « vivre ensemble ».
Peut-être existe-il d’autres organisations religieuses de ce type ? En attendant d’en trouver une et de la porter à la connaissance de tous, il est bien de noter que la «  Soka Gakkai » aujourd’hui témoigne de ce qui pourrait être considéré comme un modèle d’organisation religieuse.

Zounon Koffi Cyrille                                                                                 



lundi 15 septembre 2014

VIRUS RELIGIEUX OU ZELE RELIGIEUX?

       

Le peuple Africain est un peuple religieux. Religieux au sens où tout ce qu’il fait, il doit le confier au préalable à un Dieu. Rien,  absolument rien n’est le fruit du hasard. Depuis l’Animisme, sa religion traditionnelle au christianisme, en passant par l’Islam. Ce peuple là,  a, essentiellement un reflexe  notoire : celui de tout confier à un Dieu avant d’entreprendre toute chose.
Ainsi,  bien que,  femmes, hommes et enfants,  dans la société Africaine Animiste soit conditionné par ce reflexe qui consiste à  solliciter l’assistance des ancêtres  par le truchement d’Objet fétichisé, il y a des prêtres ou des personnes dont le rôle et la fonction se confondent en une et une seule chose. Car la société leur reconnaissant un pouvoir certain, un pouvoir « surnaturel »qui leur permet d’être encore plus doué que le reste des membres de la société.
En Côte d’ivoire  par exemple et plus précisément chez le peuple Baoulé, le «  Komi an » est celui là qui détient le pouvoir d’exorciser ou de protéger qui le veut. Il est considéré comme plus proche des ancêtres et est animé d’une énergie hors du commun pour agir.
Au Bénin, le « Bokonon » semble jouer le même rôle. En tout  cas, chaque société traditionnelle africaine a son   « komi an » ou son « bokonon ».
Avec l’avènement du Christianisme et de l’Islam, beaucoup d’Africains ont opté pour une nouvelle « Foi ». Si certains sont sincères dans leur nouvelles croyance  en niant leur pratique ancestrale, d’autres, pensant,  peut-être, être  plus «  malins » ont cru bon d’ajouter à leur vielle croyance, une nouvelle. Gagnant ainsi, une «  Foi » de plus ; ce qui leur fait au décompte final deux formes de croyance,  une officiellement connue de tous et une autre intimement gardée.
Ce qui est intéressant à noter, c’est que, ces Africains qui ont opté pour ces nouvelles «  croyances», retrouveront  encore une fois  dans ces religions nouvelles, des personnes proches de Dieu et qui leur serviront d’intermédiaire. L’Iman, le marabout, le prêtre ou le pasteur sont ici, dans ces nouvelles formes de croyances les images du « bokonon » du bénin ou du  « komi an » chez le peule Baoulé.
Coïncidence ? Vison religieuse ou Simple Rituel ?
Tout se passe comme si, entre Dieu et les hommes, il doit y avoir nécessairement un intermédiaire.
Dans une de ses Fables : le Corbeau et le Renard, La Fontaine écrit : «… Tout flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute… ». J’ose croire que ceci n’est que  propos de fable. A moins d’une demi-vérité.
LE VIRUS RELIGIEUX
Une chose est une sûre,  l’idée d’intermédiaire entre l’objet de croyance et le croyant est fortement marquée. Et,  ceci  est vrai  tant pour l’animisme que pour le christianisme ou encore l’islam.
Ce qui semble encore plus marquant, c’est la pratique religieuse à outrance que nous observant ça et là. Est-ce un Zèle religieux ? Les élèves d’hier seraient-ils devenus les maîtres d’aujourd’hui?
En côte d’ivoire, personne ne connait le nombre exact de ces Eglises. A tous les points de rue, vous trouverez une chapelle avec adeptes. Dans les gares routières, les autobus, les cars de transport en commun de « nouveaux prophètes ou prophétesses » proclament la bonne nouvelle. On aurait cru à une compétition de croyance ! Le nombre de ces Eglises dites révélées ne fait que croître, des maisons sont transformées en lieu de culte, Gare à quiconque s’en plaindrait ! Il est tout de suite taxé de démon. Au point où certains Etat tels que le Cameroun ou le Rwanda ont décidé de prendre les choses en main en créant des comités de veille sur ses religions qui se multiplient à la manière d’un virus. Tant, tout va vite !
QUELLES RETOMBEES ?
A observer cette duplication phénoménale de la chose religieuse en Afrique, on pourrait s’interroger sur la finalité d’un tel développement ?
La religion est affaire de masse. En Afrique noire presque tout le monde a sa religion. Cette « démocratisation » de la croyance est telle qu’au sein d’une même famille on retrouverait d’autres types de religions. Si cela n’est un mal en soi, que gagne l’Africain réellement de son esprit religieux ?
Ou, plus encore,  puisque la religion a une fonction sociologique et qu’elle est affaire de masse que gagnent concrètement nos Etats ?
La Paix ? Si oui, quelle Paix ? Les problèmes de guerre de tous ordre, d’insécurité sociale et physique témoignent de ce que ces religions jusque là, n’ont pas d’impact  salutaires réel sur nombre de leurs adeptes.
Que gagnent les adeptes eux-mêmes ? La paix du cœur ? Quelle Paix du cœur ? Un cœur en paix fait-il la guerre ? Assurément non !
Dans ce cas, est-ce le Paradis ? Ce  monde lointain auquel l’on y accède  qu’après la mort ? Est-ce là, le véritable gain de ces adeptes ? Si tel est le cas ? Qui va au Paradis vraiment ? Des personnes religieuses qui ont auront passé toutes leur vie à contrarier leurs concitoyens ?
En vérité,  à y voir de près, presque tout le monde sort perdant ! Et ce, d’autant plus que le développement de nos Etats semble en parti biaisé par cette incompréhension de la chose religieuse.
Une journée compte Vingt quatre heures. Si, sur  les vingt quatre heures, l’on doit passer les deux tiers à prier et à penser développement religieux, il va s’en dire que le développement ne peut qu’être simple vue de l’esprit.
Nos pays sortiront perdants tant que nous ne pourrions profiter réellement de la sagesse émanant de la religion. J’allais dire d’une compréhension vraie de la religion.
Nos pays sortiront perdants tant que,  plutôt de que de faire valoir nos valeurs, nous nous livrons à une compétition religieuse. Vaine.
Et ce,  par le truchement de concitoyens  piqués par le virus ou le zèle religieux du Vingtième siècle. Un virus qui se propage à la vitesse d’un éclair. Hélas !


vendredi 15 août 2014

LA DECISION

Il est des personnes qui passent toute leur vie à douter. Ces personnes là finissent  tôt ou tard dans la détresse avec un cœur asséché et  la misère comme souvenir. C’est triste, et pourtant tout est possible pour qui sait se décider pour qui sait oser.

Tout le secret  d’une vie bien menée se trouve là.

Je souhaite partager avec vous une citation qui est à jamais graver dans mon cœur. La voici :

« A partir du moment où l’on s’est engagé définitivement, la providence entre alors en scène. Toutes sortes de choses se produisent qui autrement, ne se seraient jamais produites. De la décision jaillit un flot d’événements, qui déterminent en votre faveur, quantité de rencontres et d’appuis matériels imprévus, qu’aucun homme n’aurait pu imaginer.
Ce que vous pouvez faire ou rêver de faire, commencez par le faire.
L’audace est porteuse de génie, de puissance et de magie.
Commencez dès maintenant ! »


Goethe
zucko12@gmail.com

UNE MYSTÉRIEUSE MALADIE

Ceci est une histoire vraie, elle est tirée de mon ouvrage vivre ensemble au delà des religions : http://www.lulu.com/shop/cyrille-zounon/vivre-ensemble-au-del%C3%A0-des-religions/paperback/product-20137349.html

C’est la preuve que lorsque, on est sincère et qu’on pratique franchement sa foi bouddhique on vit des histoires invraisemblables qui sont en fait une richesse.

Je vous laisse déguster la mienne. juste un extrait. Beaucoup m’ont déjà écrit. Vous pouvez vous aussi réagir après lecture par ici car la vie est un partage: zucko12@gmail.com

Attention !!! L’histoire est un dialogue entre M’bobo le narrateur et son ami N’yobié !

« Il y a douze années de cela, je me sentais de plus en plus mal dans ma peau. J’étais constamment fatigué. Il est arrivé un moment où je ne pouvais, faire plus d’un pas. J’ai été à l’hôpital et essayé des remèdes traditionnels mais rien n’y fit ! »
« Même pas un seul diagnostique ? »
« Je t’assure frère ! C’est d’ailleurs cela, qui m’a fait passer deux ans au village. »
« Je vois »
« Au village en dépit des bonnes volontés des uns et des autres rien n’avançait et les supputations allaient bon train : était- ce une maladie naturelle ? Etait- ce une fatigue mentale ?  Les parents étaient de plus en plus essoufflés. Plus de remèdes ! Plus d’argent ! Les gens vont aux champs le matin pour ne revenir que le soir. C’est à leur retour que je pouvais avoir droit à la nourriture. Heureusement je m’arrangeais pour avoir une variété de fruits avec moi, on pensait que j’aimais beaucoup les fruits et on m’en apportait beaucoup mais en réalité, je n’avais rien d’autres que ça pour nourriture. Plus tard, je me rendrai compte que les fruits sont importants pour la santé. La nature me prenait ainsi déjà en charge sans que je ne m’en rendais compte»
« J’imagine que, c’a  été vraiment dur  pour toi ! »
« Chaque matin, je m’arrangeais pour sortir et m’asseoir sous un arbre avec une livre, un pot d’eau, un petit poste radio à pile et quelques fruits près de moi, je restais ainsi jusqu’au soir à l’arrivée des miens des travaux champêtres puis après le diner, je rentrais dormir . Mon programme était le même pendant plusieurs mois. On a fini par m’accepter comme ça : ni malade ; ni en bonne santé. Franchement dit, je me sentais mal à l’aise dans ma peau. Je ne saurai jamais décrire tous ces malaises en moi ».
« Et comment, as tu pu tenir pendant tout ce temps ? »
« Je méditais énormément ! »
« Ha bon ! »
« Oui ! Je priais et priais. Je  n’avais que ça. C’était le moment pour moi d’expérimenter les bonnes attitudes de vie acquises dans l’école Soka. Je priais de toutes mes forces, car je savais que beaucoup de choses et de personnes m’attendaient, Je sentais qu’il me fallait remporter la victoire définitive sur la maladie si je veux apporter quelque chose à ce monde. Je n’avais plus de montre pour chronométrer mon temps de méditation. Alors, je pratiquais jusqu’à ce qu’une bougie entière consume. Et quand, je n’avais plus d’argent pour en acheter une, je pratiquais jusqu’à épuisement. Mentalement, je gagnais en force, physiquement, je tenais. Parfois, je dépérissais, parfois aussi, je reprenais poids. Mais, je pratiquais. J’ai appris à observer tout en moi et auprès de moi. J’ai appris à décoder le message du vent, le chant des oiseaux, le rire ou les pleurs venant d’à coté. J’apprenais à me connaître et à comprendre l’esprit humain, je tirais ma force de tout cela, C’est ainsi que des événements apparemment fortuits m’inciteront à continuer. »
« Et, quels sont ces évènements ? »
« Juste des choses banales en apparence mais qui revêtaient une signification capitale pour moi. D’abord, un jour, j’avais besoin de sou pour acheter une patte dentifrice, tout me manquait ! Et, j’ai dit dans ma prière : aujourd’hui, je sais que j’aurai de quoi m’acheter ces petites choses. Ce jour là, un inconnu qui deviendra plus tard, mon confident m’a remis un billet de mille francs, c’était énorme »
« Que s’était il passé ?»  
« A la question de savoir pourquoi ce geste, il m’a dit : votre sœur est mon élève. Je lui ai demandé qui est ce monsieur qui s’assied  tout le temps devant votre maison avec un livre ? Elle m’a répondu : c’est notre ainé ! Il est souffrant. Alors, j’ai pensé que ce petit billet pourrait vous aider. »
« Quelle compassion ! » S’exclama N’yobié.
« Deuxième événement : Un jour quelqu’un vint à moi et me demanda « tu continues toujours ta prière là ? J’ai répondu : oui. Il ajouta, il y a longtemps que tu pratiques. Aujourd’hui encore, même seul et malade dans ce village, tu pratiques toujours, s’il te plait n’abandonnes pas ! J’ai trouvé cela bizarre. Lui et moi n’avions jamais parlé de religions auparavant. »
N’yobié se fronça les sourcils puis ajouta : « Un encouragement tout de même curieux ! »
« Troisième événement : ce jour là, était un dimanche, à l’instar des autres dimanches, je me suis rendu dans un champ d’igname non loin de ma maison. J’y suis allé pour une zadankai, c’est à dire une réunion d’échange spirituel. Là, je repérais quelques arbustes  que j’assimilais à quatre ou cinq personnes au milieu desquels, je m’asseyais. Je lisais un texte, puis chacun donnait son avis ; après on faisait la synthèse et on se séparait »
« Ça alors ! Tu organisais des réunions d’échanges en pleine brousse avec des plantes et tu leur prêtais même la parole ? » S’étonnait N’yobié !
« Oui ! Non seulement, je leur prêtais la parole,  mais je les écoutais. »
« Incroyable ! Incroyable ! » S’emblait murmurer l’hôte comme pour se parler à lui même. »
« Et, ce n’est pas tout! » Avertit, M’bobo.
« Un jour, à la fin d’une de ces réunions, j’ai perçu une plante en fleur. Je recevais là un message de dame nature »
« Je ne comprends rien, où voudrais tu en venir encore ? »
« Tu sais la nature nous parle, mais encore faut il avoir un certain éveil pour capter ses messages. Une plante en fleur symbolise la vie. Le fait que ces fleurs étaient en éclosion, cela laissait sous entendre, que j’étais moi même en pleine renaissance. C’était un message poétique »
 « Ah ! Avec toi, on ne cesse jamais d’apprendre ! » Fit remarquer N’yobié.
« Les fleurs de cette plante étaient tellement belles, si belles que je m’en approchais en larmes pour les apprécier davantage puis brutalement…
A ce moment du récit, M’bobo marqua une pause comme si, cet événement  lui était revenu avec une certaine fraicheur.
« Oui ! Je t’écoute » encouragea, N’yobié
« Un serpent ! »
« Quoi ! Un serpent ?
« Oui ! Un vrai ! C’était un naja... 


CHRONIQUE DE CYRILLE ZOUNON : LE BOUDDHISME, LA CO-ECOUTE ET MOI !

L’homme est un animal pensant. La pensée est une caractéristique essentielle  de l’être humain.  Si vous vivez, c’est que vous devez être capable de penser. Si vous ne pouvez le faire, c’est que vous êtes tout, sauf un être humain. Dans ce cas vous êtes un corps inanimé, c'est-à-dire un cadavre.

La pensée est une activité cérébrale, elle implique, une idée, une réflexion. Tout ceci, bien attendu ne peut se faire que sur la base d’une croyance. Nous,  être humain agissons en fonction de notre croyance. La croyance en quelque chose. Une croyance soit consciente ou inconsciente. La pensée trouve son expression dans l’acte de pensée elle  même, dans la parole et dans le comportement.

Dès lors, il est capital d’accorder  une importance à ce à quoi nous pensons. Car, nous devenons ce que nous pensons. La racine de nos croyances provient essentiellement de la religion. La religion en tant qu’institution sociale draine du nombre. C’est là que la plupart des fidèles s’entraînent à recevoir le fondement de leur croyance. Même si vous n’avez une religion dûment nommée, c’à quoi vous accordez le plus devient en quelque sorte votre religion, vous êtes lié  à ça et cela crée en vous des automatismes de caractères. La pensée dominante dans votre cœur est votre religion, votre philosophie.

Une fois que l’on a compris cela, il nous est de la plus grande utilité de trouver la racine de nos pensées avant toute  autre chose. La qualité de nos pensées dépend de la sagesse que puisons de nos croyances.

J’ai choisi en ce qui me concerne le bouddhisme de Nichiren Daishonin comme fondement de mes pensées donc comme croyance. Et cela a été l’aboutissement d’une quête permanente sur des questions essentielles de notre temps : La vie, la mort, la maladie, le bonheur…

Le bouddhisme m’a permis de trouver d’abord des réponses théoriques à ces questions grâce aux enseignements et encouragements du Docteur Daisaku Ikeda président de  l’organisation mondiale à but non lucratif : Soka Gakkaï.

Par la suite, la pratique de cette religion m’a permis de puiser au-dedans de moi-même enfin de m’appartenir, et de me projeter en tant qu’entité humaine dans la vie.
Aujourd’hui, après plus de vingt ans de pratique constante de ma foi, je peux enfin affirmer que ce que je suis devenu maintenant vient de là.

Mon ouvrage « vivre ensemble au-delà des religions » est en fait un ensemble de conclusions puisées de ma croyance et de mon vécu.

La co-écoute

J’ai appris que l’écoute guérit, et je l’ai vu faire revenir à la vie nombre de personnes. Ecouter, c’est bon ! Mais savoir écouter est un art que j’ai appris et que je perfectionne au jour le jour grâce à ma communauté.
Je suis aujourd’hui Leader de l’Ecoute en Côte d’Ivoire.
L’homme a une seule tête mais deux yeux, deux oreilles, deux narines. Cela veut dire que l’homme devrait parler peu mais en revanche, observer, respirer, garder son calme et écouter beaucoup. Dame Nature nous enseigne.

Ma rencontre avec la communauté de la Co écoute a été un tournant tout aussi décisif. C’a été une véritable bonne fortune de rencontrer une telle organisation en ce sens qu’elle va m’ouvrir de nouveaux horizons en ce qui concerne la prise en charge rationnelle de ma vie à partir de réflexions justes.
En effet, le postulat de base de la Co écoute est ceci : Tout homme est intelligent, aimant, coopératif. L’intelligence en tant que capacité d’apporter de nouvelles réponses aux situations nouvelles.
En nous fondant sur ce postulat, l’être humain devrait vivre en paix, dans  la joie avec des réussites et toujours en harmonie avec ses semblables et son environnement.

Pourtant, la réalité est tout autre : stress, mésentente, dysharmonie, insuccès…
La Co écoute explique ces situations irrationnelles par les blessures émotionnelles que l’individu subit depuis l’enfance  et ce, tout au long de sa vie. Des blessures non pansées même si elles paraissent oubliées. Ce n’est qu’une apparence.
Elle dispose donc d’un ensemble d’outils pour y remédier. Un Co écoutant actif et régulier a la capacité de dominer ses émotions douloureuses, et mieux de nettoyer une à une de vielles blessures. De retrouver la fluidité de son corps émotionnel et de bien penser la vie. Or, bien penser la vie c’est agir intelligemment et voler de succès en succès.

La communauté de la Co écoute est une famille d’amour où le respect et le bien être de l’autre importent beaucoup. Une communauté avec ses règles et principes.
Tout au long de cette chronique, je vous entretiendrai sur les bienfaits de la Co écoute dans la famille, au travail, en milieu scolaire bref dans la vie tout court.

Vous pouvez me contacter à tout moment pour toute préoccupation, je me ferai le plaisir de vous écouter et de partager.

Ma vie

Aujourd’hui ma vie est la conjugaison du bouddhisme et de la Co écoute. Ma pratique me donne énergie, protection, bonne fortune, idées et sagesse et avec l’outil de la Co écoute, je rationalise tout, j’organise tout et avance avec espoir. Je n’entretiens plus d’idée floue dans ma tête, je sais fais la part des choses entre l’émotionnel et le mental. Entre le rationnel et l’irrationnel. Je sais aussi que lorsque vous êtes sain sur le corps émotionnel, vous réfléchissez bien et évitez beaucoup de maladies.

Grâce à ces deux outils, je distille espoir et joie autour de moi. Bien que je sois toujours entrain de faire mon propre nettoyage, de faire mon chemin de vie.

La pratique de ma foi et les sessions de décharge de la Co écoute me font renaître chaque instant de la vie, et je sais aujourd’hui que quelque soit ce qui m’adviendra,  je trouverai réponse. Car je suis un gagneur.
Quand vous pouvez avoir de l’assurance, de la tranquillité au-dedans de vous même et traverser les vicissitudes de la vie avec optimisme, c’est que vous êtes un gagneur dans la vie.

La vie est dynamique, les phénomènes sont impermanents, les difficultés existeront à coup sûr ; Mais vous, que faites vous pour ne pas en être ébranler.

L’avion craint-il la violence du vent ou au contraire s’en sert –il pour aller avancer plus vite ?
Les difficultés existent pour nous faire vivre. C’est un challenge permanent que de les transformer en alliés. Et les outils existent pour ça. En ce qui me concerne, je crois les avoir trouvés.

Ici s’achève cet article. Je vous remercie de votre aimable attention !

Vous pouvez réagir en m’écrivant en privé par ici : zucko12@gmail.com